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Juste un mot pour rassurer ceux qui pensent qu'il est désormais impossible de vivre sans stress, dans un monde où des terroristes circulent en liberté...
Comme l'ont affirmé certains chroniqueurs, la France vient de vivre son 11 septembre. Et c'est vrai. on peut voir les choses comme ça, mais qu'est-ce que ça change vraiment pour nous, humbles citoyens ?
- premièrement, cela nous rappelle que la mort peut frapper à tout instant, terrorisme ou pas : "vous ne savez ni le jour ni l'heure" dit la bible depuis 2000 ans, ce n'est donc pas nouveau. Nous nous plaisons à l'oublier, mais chacun peut disparaître d'un moment à l'autre, ne serait-ce que par accident.
- deuxièmement, comme de toutes façons il faudra bien mourir de quelque chose, la plupart des gens ont bien compris qu'il valait mieux mourir debout, c'est à dire sans renier ses opinions, et cela, c'est vraiment un progrès.
Finalement "ce qui ne nous tue pas sur le coup nous rend plus fort" comme le dirait Nietzsche : c'est ce qui s'est passé pour l'Amérique après le 11 septembre, qui s'est trouvée rassemblée comme jamais. Et c'est ce qui s'est passé pour la France dernièrement. Le 7 janvier la liberté est morte, le 11 janvier elle est ressucitée. En chantant la Marseillaise, spontanément, et en acclamant la police, ce qui ne s'était pas vu depuis longtemps...
Amis, vivons le bonheur d'être un peuple fier, et libre dans sa tête ! Et puis servons-nous ne notre liberté de pensée, pour réfléchir aux causes du choc culturel qui se produit en ce moment... Le temps de la discussion viendra en son temps.
Selon une étude japonaise publiée récemment, les vapeurs de cigarettes électroniques contiennent des substances cancérigènes, en quantités parfois 10 fois supérieures à celles de la fumée de tabac...
Les vapeurs absorbées contiennent souvent du formol (formaldéhyde), un produit considéré comme cancérigène, ainsi que de l'acroléine, du glyoxal (ou éthanedial) ou encore du méthylglyoxal et de l'acétaldéhyde (ou éthanal).
"Pour l'une des marques analysées, l'équipe de recherche a trouvé un niveau de formaldéhyde atteignant plus de dix fois celui d'une cigarette traditionnelle", explique Naoki Kunugita, le chercheur qui a dirigé l'étude, en précisant que la quantité des substances cancérigènes mesurées varie suivant le niveau de chauffe de l'appareil (elle est plus forte en cas de surchauffe).
La cigarette électronique n'est donc pas une solution miracle à long terme... alors qu'au contraire, une ou deux séances d'hypnose peuvent vous débarrasser définitivement de l'envie de fumer, et ce pour un coût inférieur.
Le geste du fumeur
L'idée de garder le geste sans en avoir les inconvénients, était pourtant séduisante.
Tous les fumeurs le savent, le geste du fumeur donne une impression de sécurité, il permet de s'isoler un moment dans sa bulle, en adressant à nos proches un message silencieux : "laissez-moi tranquille le temps d'une cigarette, je suis occupé, je réfléchis, je me concentre un moment pour prendre de meilleures décisions"...
Lorsqu'on choisit de se débarrasser définitivement de la cigarette, il est important de trouver d'autres moyens pour signifier à nos proches qu'on a besoin d'un peu de tranquillité. Lors d'une séance de thérapie anti-tabac, on doit prendre en compte ce type de besoin, et trouver avec le patient des solutions concrètes. Et non seulement c'est parfaitement possible, mais c'est même vital.
Le geste du fumeur est alors remplacé par d'autres messages tout aussi efficaces, à travers une communication non-verbale appropriée, comme l'explique cette courte vidéo :
Et c'est ainsi que l'on devient enfin un non-fumeur tranquille !
Dans mes recherches, j'ai toujours pu éviter la vivisection avec d'excellents résultats ! Au cours de mes études de biologie, je me suis très vite posé des questions concernant la pertinence des expériences réalisées sur divers animaux. Je me souviens en particulier avoir croisé le regard d'un jeune primate sanglé sur sa table de vivisection et, bouleversé, m'être demandé : Est-ce nécessaire ? Peut-on faire autrement ? Devenu par la suite praticien hospitalier et universitaire habilité à diriger des recherches, j'ai toujours mené mes travaux et dirigé mes recherches hors modèle animal et sans vivisection, avec d'excellents résultats.
Ce serait le comble, au pays de la baguette... pourtant beaucoup de voix s'élèvent, y compris parmi les médecins, pour dénoncer les méfaits du gluten, un aliment présent notamment dans le pain, et qui serait responsable d'allergies, de problèmes digestifs et de maladies chroniques.
Réalité ou psychose collective ?
Certaines personnes, environ 1% de la population, ne supportent pas la moindre trace de gluten dans leur alimentation. Il s'agit des personnes allergiques au gluten et des personnes victimes, pour des raisons génétiques, de la maladie ceoliaque. D'autres, environ 5% de la population, sont victimes de diverses maladies chroniques et affirment mieux se porter lorsqu'elles font un régime sans gluten. Enfin, de plus en plus de personnes se posent également des questions et se demandent si elles ne devraient pas se passer de gluten elles aussi.
D'autres par contre, en particulier les boulangers, se demandent s'il ne s'agirait pas là d'une psychose collective, qui risque de s'étendre à l'ensemble de leurs clients...
Qu'est-ce que le régime sans gluten ?
On trouve le gluten non seulement dans le pain, mais aussi dans la plupart des céréales, le blé, le seigle, l'avoine. Mais il n'y en a pas dans le riz, ni dans le sarazin, et très peu dans le maïs. Par ailleurs les aliments issus de l'industrie agro-alimentaire en contiennent souvent, sous la forme de glutamat, un exhausseur de goût que l'on retrouve un peu partout en faible quantité,
Du coup, les gens qui doivent faire un régime strict doivent prendre beaucoup de précautions et se ravitaller uniquement dans des magasins spécialisés, pour un coût souvent élevé (3 à 4 fois plus cher). De plus les produits sans gluten sont souvent insipides ou plus compliqués à préparer, ce qui fait du régime sans gluten un régime contraignant.
Toutes ces précautions sont-elles bien nécessaires ?
Justement non, en tous cas pas toujours... La vidéo qui suit fait le point :
Peut-on simplifier le régime sans gluten ?
Pas pour les patients qui ne supportent pas la moindre trace de gluten (allergiques et victimes de la maladie coeliaque) : eux doivent continuer leur régime strict
Mais tous les autres vont pouvoir élargir leurs menus :
Christian Rémésy, un chercheur de l'INRA, a fait des études poussées sur le sujet, et nous apprend que les choses sont plus complexes qu'on le pensait jusqu'à présent. Selon lui, il ne faut pas mettre dans le même sac tous les types de gluten, et il faut aussi tenir compte de la manière dont les produits agricoles sont cultivés, puis utilisés en cuisine. Par exemple la cuisson à l'eau, comme on le fait pour les pâtes, atténue considérablement les effets nocifs. Selon lui, en dehors des patients atteints de la maladie cœliaque, les autres personnes hypersensibles au gluten peuvent néanmoins manger normalement des pâtes, de la semoule ou du couscous, car ces aliments sont fait à base de blé dur. Le blé dur contient plus de gluten que le blé tendre mais il s'agit d'un gluten beaucoup moins nocif. Finalement ce serait surtout le blé tendre, qui a été poussé pour permettre un pétrissage plus élastique, qui serait le plus indigeste. Surtout lorsqu'il n'est pas fait au levain.