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Vivre sans stress dans un monde agité - Page 34

  • Pour en finir avec la cigarette...

    Si vous pensez que la cigarette vous aide à lutter contre le stress, je vous propose de jouer un peu au détective, juste pour un moment, et d’observer attentivement trois types de personnes :
    - les fumeurs
    - les non fumeurs
    - les gens qui pratiquent un sport
    De ces trois catégories, laquelle résiste le mieux au stress ? Observez autour de vous, et dites moi quelle est votre conclusion…

    Qui est le plus détendu ? Et le plus efficace ?

    Dans la nature les animaux les plus rapides, sont aussi les plus détendus. Regardez votre chat, il est vraiment détendu, et capable de se jeter sur une souris en moins d’une seconde ! Le jour où vous verrez le chat arpenter la pièce, en maugréant que les souris sont difficiles à attraper, et en fumant clope sur clope, là vous aurez vraiment de quoi vous inquiéter.

    Car pour gérer une situation de tension il vaut mieux être calme, et la cigarette rend nerveux !

    Alors, vous l’arrêtez quand cette cigarette ?

    Difficile ? Oh pas tant que ça, si vous trouvez de l’aide… Je vous propose de commencer par lire un tout petit bouquin qui s’appelle « la méthode facile », de Allan Carr. Il ne vous en coûtera que 6 ou 7 euros et vous y trouverez une aide réelle contre la cigarette et puis, si cela ne suffit pas, venez me voir ou trouvez un thérapeute compétent en la matière.

    Parfois, derrière la cigarette se cache une autre difficulté qu’il faut gérer en premier lieu. Sachez aussi que tous les efforts que vous avez faits pour arrêter, ne seront pas perdus.

    Si vous pensez avoir tout essayé sans succès, si vous ressentez cela comme une série d’échecs, rappelez vous comment vous avez appris à marcher : vous avez fait un premier pas, puis vous êtes tombé. Un autre pas, et vous êtes tombé. Diriez-vous que ce sont des échecs ? Maintenant que vous savez marcher, vous voyez bien que c’est grâce à toutes ces tentatives, grâce au courage que vous avez eu en essayant, en tombant, en essayant à nouveau jusqu’à ce que ça marche.

    Hé bien, il en sera de même pour le tabac. Quand vous aurez arrêté, vous verrez que toutes les tentatives manquées, étaient autant de pas vers la réussite.

    Moi aussi j’ai fumé, je n'étais pas un très gros fumeur mais j'ai quand même eu du mal à m'arrêter. Ce qui a été finalement déterminant : la lecture du livre d'Allan Carr, et deux séances d’Hypnose Ericksonienne, une forme d'hypnose douce et respectueuse du client. Une première séance m’a donné l’envie d’arrêter totalement mais elle n’a pas suffi, car la première cigarette du matin me semblait encore indispensable : je prétendais que je ne pouvais pas me réveiller sans elle… Une deuxième séance a été nécessaire pour éliminer cette première cigarette. Or, plus de première cigarette, plus de cigarette du tout, et c‘était gagné !

    Je vous propose une aide en trois séances. Et si malgré cela vous arrêtez dès la première séance, tant mieux pour vous !

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    Vous pouvez aussi obtenir de l'aide en consultant cette liste de praticiens en Hypnose Ericksonienne.

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  • Gérer la peur de la mort

    La peur de la mort peut être consciente ou inconsciente.

    Une peur consciente peut être très désagréable et se traduire par une perte d’énergie, de la tristesse ou de la dépression. Une peur de la mort inconsciente, génère également une perte d’énergie, une fatigue, ou parfois une fuite dans des activités multiples et variées, censées distraire du quotidien.

    De toutes manière les neurones travaillent, consciemment ou non, à trouver une solution, un échappatoire, un moyen de repousser l’échéance et d’oublier le tragique de la situation. Ces neurones qui travaillent dans l’ombre, consomment une énergie importante et privent l’intelligence d’une part de ses ressources.

    C’est pourquoi il est important de trouver un remède à cette peur, un remède qui soit un vrai remède et non un emplâtre sur une jambe de bois. Nos sociétés occidentales, en choisissant de faire l’autruche le plus longtemps possible sur le problème de la fin de vie, ont réussi à rendre la peur inconsciente, sans parvenir à la supprimer. Une fuite fébrile vers des activités futiles, en est la conséquence la plus apparente.

    Les religions ont tenté de rassurer l’être humain, en donnant un sens à la vie, un sens à la fin de vie. Usant de psychologie, utilisant le symbole et la parabole, elles ont réussi à rassurer les générations qui nous ont précédées, mais leur discours est souvent trop naïf, trop éloigné des concepts scientifiques, pour rassurer efficacement les gens de notre époque. Le bouddhisme s’est mieux adapté à la démarche scientifique et il est mieux accepté de nos contemporains, mais il est parfois abstrait et difficilement compris. La philosophie la plus répandue de nos jours, reste encore l’athéisme qui touche environ 50% de la population occidentale et ne donne aucune perspective positive sur le sujet.

    Un phénomène nouveau se produit

    Grâce aux progrès de la médecine et à l’efficacité des services de réanimation, un phénomène nouveau se produit, de plus en plus souvent. Ce phénomène touche de plus en plus de personnes accidentées, réanimées promptement, le plus souvent sur place, par les équipes de pompiers spécialisés en la matière, aujourd’hui bien équipés en matériel de pointe suffisamment miniaturisé pour être transportable.

    Ces personnes « revenues de loin » racontent des expériences durant lesquelles elles ont approché la mort de si près qu’il faudrait quasiment parler d’un voyage aller retour, un voyage éclair entre une mort clinique dûment constatée, et un retour rapide à la vie.

    De telles expériences sont si troublantes, que les gens qui les ont vécues hésitent à les raconter. Selon eux, il semblerait que la vie ne s’arrête pas à la mort du corps. Longtemps on a mis en doute leurs paroles, que le monde médical qualifiait d’hallucinations. Aujourd’hui les choses changent, devant le nombre d’expériences de ce type, vécues par des gens par ailleurs crédibles, le monde médical s’interroge.

    Un site internet a été créé pour échanger à propos de ces expériences, connues sous le nom américain de « Near Death Experiences » , ce qu’on traduit habituellement par « expériences NDE » ou « expériences de mort imminente ». L'animatrice de ce forum , Sylvie Dethiollaz, est docteur en biologie à l’université de Genève.

    Si vous avez vous-même vécu une expérience de cette sorte, vous pouvez la raconter sur ce forum , ou dans les commentaires qui suivent le présent article.

    Vous pouvez aussi nous faire part de vos idées sur la vie et la mort, de vos expériences relatives à l’accompagnement, ou de toute bonne idée permettant de rassurer les personnes qui en ont besoin, c’est-à-dire nous tous en définitive…

    Avec un peu de chance et par les efforts de tous, nous allons pouvoir relativiser cette peur souvent inconsciente mais néanmoins pesante, et sans doute un jour la transcender totalement.

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  • Techniques d'accompagnement

    Toute technologie suffisamment avancée, est indiscernable de la magie.

                              Arthur C. Clarke, auteur du roman "2001, l'odyssée de l'espace"

     

     Pour en savoir plus, cliquer ci-dessous :

     

    La PNL, des principes simples

    L'analyse systémique, pour comprendre et structurer 

    La Communication Emotionnelle

    La Relaxation hypnotique

    La nature, notre guide le plus sûr

     

    Comment se déroule une séance :



    Un entretien préliminaire vous permet d’expliquer votre objectif et votre problématique. Je vous accompagne au cours de ce dialogue de manière à ce que remontent à la conscience un certain nombre d’éléments permettant d’éclairer les changements nécessaires.

    Et puis je vous accompagne dans un état de relaxation profonde sans perte de conscience : vous vous sentez libre, dégagé de vos soucis, ce qui vous permet de mobiliser toutes les ressources de votre esprit autour de l'objectif que vous avez défini avant la séance. Ainsi les ressources de l'inconscient, s'ajoutent à celles du conscient. Étape par étape, je vous aide à visualiser les obstacles à contourner, les solutions originales qui vous permettront d'atteindre votre but avec élégance et efficacité.

    Consultations


     

     

     

     

     

  • La PNL, des principes simples

    La PNL, ou Programmation Neuro Linguistique, fonctionne sur des principes simples et concrets. En voici quelques-uns :

    L'expérience sensorielle est la base de toute réflexion.

    Notre cerveau est capable de réflexions complexes, mais il ne communique avec l'extérieur que par les cinq sens. Nos expériences, nous les faisons au travers de nos sens, et nous les mémorisons telles que nous les avons ressenties.

    Ainsi lorsque nous faisons appel à notre mémoire, ce sont bien des images, des sons (ou des mots, des phrases que nous avons entendues) qui nous reviennent à l'esprit. Des sensations aussi. Autrement dit, les expériences sensorielles constituent le matériau de base de nos constructions mentales.

    La part du subjectif est importante

    Imaginez une voiture qui fonce, transportant à son bord deux passagers : l'un est ravi, grisé par la vitesse, l'autre est terrorisé et s'accroche au fauteuil. La situation objective est pourtant la même, mais subjectivement, ils ne la vivent pas du tout de la même manière.

    La part du subjectif est importante dans notre capacité d'action. Tout le monde n'a pas la même chose dans sa tête.

    Cela nous amène lors d'une analyse de notre vécu, à suivre la logique que chacun expérimente à l'intérieur de lui-même.

    L'émotion est importante, mais difficile à gérer par la logique

    L'émotion est souvent liée à l'imaginaire, c'est pourquoi le thérapeute est amené parfois à poser des questions qui paraissent saugrenues, ou à déplacer la discussion sur un autre terrain que la logique, laissant plus de place à l'imagination et au symbole.

    En effet le cerveau limbique, qui gère les émotions, fonctionne sur d'autres principes que le cortex cérébral, et ne comprend pas aisément la pensée abstraite. Il est davantage touché par les symboles, par exemple si vous voulez rassurer le cerveau émotionnel, il ne suffit pas de lui proposer une assurance vie.

    Un parapluie, un bouclier, ou tout autre symbole de protection, sera plus parlant et plus efficace.

    L'imagination est la clef du changement

    Si l'on interroge les deux passagers de la voiture dont il était question plus haut, et si on leur demande ce qu'ils imaginent, il ne diront pas la même chose. Celui qui a peur imagine probablement l'accident qui pourrait survenir, tandis que l'autre passager se laisse fasciner par les capacités de réaction du conducteur.

    L'imagination peut être un outil ou un frein. Une personne timide sait très bien ce qu'il convient de faire et de dire pour aborder quelqu'un. C'est seulement son imagination qui l'en empêche, lui faisant ressortir une possibilité d'échec.

    Si l'on veut changer de comportement, on doit travailler sur l'imaginaire.

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