Ce qui pose problème avec ce nouveau virus, en dehors du fait qu'il est très contagieux, ce n'est pas tant son un taux de mortalité, de l'ordre de 1%, mais plutôt les problèmes respiratoires qui affectent 5% des malades, créant l'encombrement des services de réanimation. Or on vient de le découvrir, ces problèmes ne se produisent pas si on traite la maladie à temps.
La réalité, plus rassurante que la télé
Les médias toujours friands d'effets spectaculaires, font le décompte des morts tous les soirs. Et bien entendu cela paraît énorme, mais nous allons y mettre deux bémols.
- Ce qu'ils oublient de dire, c'est que la France est un grand pays, immense même, où des gens naissent et meurent chaque jour par milliers : 50.000 décès par mois en temps ordinaire. Comparé à ce chiffre, le nombre de décès du coronavirus est déjà moins spectaculaire. Simple question d'échelle.
- En outre la plupart des décès sont constitués de malades déjà proches de la fin... En Italie par exemple, selon le rapport officiel de l’Istituto Superiore di Sanità du 17 mars, l’âge moyen des personnes décédées était de 80 ans, et seulement 0,8% des victimes n’avaient pas de pathologie antérieure. Un quart en avait une, un autre quart en avait deux, et la moitié en avait trois : hypertension artérielle, diabète, cardiopathie, cancer, insuffisance respiratoire... avec de tels boulets aux pieds, ces personnes n'étaient sans doute pas destinées à survivre longtemps.
Autrement dit, il ne faut pas se laisser affoler, une personne saine (non porteuse d'une maladie grave), a toutes les chances de s'en sortir. Hormis peut-être les gros fumeurs, on y reviendra plus loin.
Les Chinois s'en sont bien sortis :
Ce graphique montre qu'en Chine l'épidémie est complètement terminée (courbe rouge, foncée) tandis qu'elle continue sa croissance exponentielle dans le reste du monde (courbe jaune, claire).
En Italie, il y a eu plus de morts qu'en Chine (bien que la Chine soit un pays largement plus grand). Comment donc ont fait les Chinois pour juguler l'épidémie aussi vite ?
On sait maintenant qu'ils se sont servis d'un remède simple, la chloroquine, déjà connue pour guérir le paludisme.
Par chance, le meilleur expert est en France
Dans la bonne ville de Marseille, le Professeur Didier Raoult est l'un des chercheurs les plus reconnus en matière de microbiologie :
Voir la vidéo : Qui est Didier Raoult ?
Il dirige un énorme établissement hospitalier, l'IHU de Marseille, où travaillent plus de 400 soignants.
Il veut suivre l'exemple chinois.
Que préconise-t-il ?
- généraliser le dépistage
- donner aux médecins les moyens de faire les tests de dépistage pour ne pas surcharger les hôpitaux.
- soigner les malades à la chloroquine, à l'exemple de la Chine
- isoler les malades et laisser les autres retourner au travail, afin d'éviter la faillite des entreprises aujourd'hui à l'arrêt, et une crise économique et sociale sans précédent qui risque de se traduire par des milliers de licenciements.
En proposant un remède bon marché, Didier Raoult ne s'est pas fait que des amis : il a été l'objet de nombreuses pressions de la part des lobbies, et même de menaces de mort. Mais il soigne, il soigne, il soigne, sans relâche ! Et il a aussi de nombreux soutiens, parmi lesquels le Professeur Douste Blasy, ancien ministre de la santé, cardiologue, qui a lancé une pétition pour le soutenir.
Ne cédons pas à la panique
Chez les gens en bonne santé, le système immunitaire fera très bien le boulot, et il éliminera le virus. Lorsque nous évitons le stress, notre système immunitaire est plus performant que lorsqu'on est dans la terreur !
Et c'est déjà très apaisant de savoir que même si on tombe malade, on pourra être soigné dans le service hospitalier de Didier Raoult, ou dans un autre établissement appliquant sa méthode.
Alors refusons de céder à la peur, pour éviter de propager une psychose plus dangereuse que le virus.
Toutefois il ne faut pas non plus prendre les choses à la légère
Se faire tester en cas d'apparition des premiers symptômes (la perte du sens du goût et de l'odorat est caractéristique). Se faire soigner dès le début par la méthode préconisée par l'IHU de Marseille, pour éviter les problèmes respiratoires, et ne pas participer à l'encombrement des hôpitaux. Si vous connaissez des gens qui pensent être victimes du coronavirus, dirigez-les vers l'IHU de Marseille.
Appliquons les gestes-barrière
On les connaît bien maintenant, se laver les mains fréquemment, maintenir une distance avec les autres, mettre un masque si nécessaire, et des gants chez les commerçants, etc...
Entretenons notre système immunitaire
C'est la barrière ultime, et nous pouvons l'entretenir par une vie saine :
- La première chose est d'éviter le tabac, car le coronavirus s'attaque principalement aux poumons et selon les statistiques chinoises, les gros fumeurs risquent 14 fois plus que les non-fumeurs. Si vous êtes fumeur, c'est donc le moment de ralentir.
- Une nourriture saine est essentielle, mieux vaut éviter la nourriture industrielle.
- L'activité physique est très importante (selon l'OMS, la sédentarité est la troisième cause de mortalité), voilà qui est problématique en période de confinement... S'il est compliqué de sortir, il faut trouver d'autres moyens pour faire un minimum d'exercice, par exemple les cinq tibétains.
Notre système immunitaire, nous pouvons aussi le booster par des méthodes naturelles.
- On sait par exemple qu'un simple jeûne de 24 heures active le système de défense, comme l'a démontré en 2016 un prix Nobel de médecine, le Docteur Yoshinori Ohsumi. En l'absence de nourriture extérieure, les cellules en cherchent à l'intérieur et les virus sont les premiers à passer à la casserole, de même que les bactéries inutiles. Cliquer ici pour voir la vidéo qui résume ces processus.
- Il y a aussi la méthode Wim Hof : des respirations qui préparent à affronter le froid. Sans aller jusqu'à nager sous la glace comme le fait Wim Hof lui-même, on peut déjà s'entraîner à gérer les chauds et froids sous la douche. C'est excellent pour la santé.
- Enfin il existe des compléments alimentaires conseillés face à ce virus : Vitamine C, vitamine D, Zinc.
Bien vivre le confinement
C'est peut-être le moment d'en profiter pour apprendre à faire plein de choses soi-même, et fonctionner en autonomie. Apprendre à faire son pain soi-même, par exemple, fera l'objet d'un prochain article sur ce site. Les méthodes que je préconise ici sont simples, gratuites, et très efficaces. N'en déplaise aux lobbies pharmaceutiques, on peut se maintenir en bonne santé soi-même par des méthodes absolument gratuites : les 5 tibétains tous les matins, le jeûne, les douches alternant chaud et froid, une bonne alimentation.
Expérimentez et si ça vous réussit, parlez-en autour de vous, car il est très important d'être dans un processus positif : notre système immunitaire aime ça, et c'est ainsi qu'il donne le meilleur de lui-même.
Le système immunitaire, c'est la meilleure barrière
Pour terminer sur une notre rigolote, imaginons un instant le dialogue entre deux cellules, chez quelqu'un qui pratique, pendant cette période un peu spéciale, le jeûne intermittent préconisé par Docteur Yoshinori Ohsumi, dont nous avons parlé plus haut :
_ Pas grand chose à manger ces temps-ci, hein ?
_ Ha m'en parles pas, qu'est-ce que j'ai la dalle !
_ Il paraît qu'arrive un nouveau virus, et il est très contagieux !
_ Ha quelle bonne nouvelle ! Et comment s'appelle-t-il ?
_ Je crois que c'est le Coronavirus, ou un nom comme ça...
_ Génial, on va enfin avoir à manger, alors ?
_ Il paraît qu'il est bourré de protéines
_ Chic alors, les protéines c'est drôlement nourrissant !
Enfin je vous informe que durant la période de confinement, je propose des consultations à distance gratuites, par Skype ou par Whatsapp.