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Et aussi pour vos proches, des livres utiles et agréables à lire :
Du Stress au Plaisir, le cerveau en action Quels sont les secrets de nos mécanismes ? Qu’est-ce qui finalement nous distingue d’une machine intelligente ? Ce livre explique comment fonctionne notre système émotionnel, comment le protéger du stress et en tirer le meilleur parti.
Le Non-Verbal, clé de la Communication La communication non verbale compte plus que les mots : les attitudes, les expressions du visage, les gestes et le ton de notre voix, sont les témoins de nos émotions, et déterminent la qualité de notre présence face aux autres.
Je me souviens des Noëls d'autrefois, et de la magie qui entourait cet événement.
En effet chers amis, j'ai eu la chance de naitre avant la société de consommation, au temps où les Noëls étaient encore des fêtes religieuses, empreintes de quelque chose d'indéfinissable et de sacré, durant lesquelles les gens, qu'ils soient riches ou pauvres, se réunissaient dans un esprit de partage, autour d'un bon feu de cheminée.
Et cela nous suffisait pour être heureux.
Mais où sont les neiges d'antan ?
Aujourd'hui, beaucoup de gens stressent au moment des fêtes.
Certains même dépriment. Des clients me disent qu'ils n'ont plus les moyens de faire des cadeaux somptueux, alors que parallèlement, les enfants d'aujourd'hui sont devenus difficiles. "Ils attendent des enveloppes, me dit une cliente, et si la somme inscrite sur le chèque ne leur convient pas, ils font la tête. Et le pire c'est que, quand leur mère les voit déçus, elle fait la tête également".
Noël serait donc une fête religieuse, à la gloire du Dieu Argent ?
Et cette grand mère d'ajouter : "Je sais d'avance que je vais passer un mauvais moment. Je me demande même si je fais bien d'y aller". Pauvre Mamie ! Quel choix difficile, rester seule pour Noël, ou bien aller chez ses enfants, et les voir faire grise mine devant leurs cadeaux.
Je lui ai demandé :
- qu'est-ce que vous aimeriez changer dans cette histoire ?
- hé bien, j'aimerais leur offrir autre chose que de l'argent. J'aimerais pouvoir leur faire un petit cadeau, un objet que j'aurais choisi...
- et si vous le faisiez quand même ?
- oh, ils vont faire la tête !
- ils vont faire la tête, d'accord... Mais vous, ça vous affectera en quoi ?
- hé bien, je vais me sentir tendue !
- Et si vous le preniez comme un jeu... est-ce que ce serait différent ?
- Comme un jeu ?
- Oui, si vous les regardiez faire la tête, et que malgré tout vous restiez détendue, comme si vous étiez un peu surprise...
- Ha oui en effet ce serait drôle ça !
- Vous pouvez imaginer la scène ? Est-ce que ça vous paraît faisable ?
- Oui, je l'imagine bien. Ils vont être surpris. Je vais en profiter pour leur raconter une histoire. Ma grand mère autrefois, en Bretagne, aimait bien nous raconter des histoires, à la veillée, durant les longues soirées d'hiver. Certaines histoires nous faisaient un peu peur, d'autres étaient amusantes. Des histoires, j'en connais tout un tas...
On n'apprend pas un vieux singe à faire la grimace
Fort heureusement, cette grand mère a vite compris comment reprendre le controle de la situation, et restaurer un peu d'harmonie au coin du feu.
Croyez-vous à l'enfer, au diable, aux esprits malveillants, aux sorcières ou tout simplement aux tendances négatives que la nature a placé en nous et qui nous empoisonnent la vie ?
Dans la vidéo suivante, vous verrez comment le jeune Albert Eintein, âgé seulement d'une dizaine d'années, s'oppose brillamment à son professeur au sujet de l'existence du mal.
Je ne sais si l'histoire a été quelque peu embellie par l'auteur du film... Mais de toutes façons l'idée est juste, voyez plutôt :
Albert Einstein, 10 ans, philosophe en herbe :
La Transformation des émotions négatives :
C'est bien beau tout ça me direz-vous, mais que faire de nos défauts, et des émotions négatives qui nous empoisonnent la vie, comme la peur, la colère ou la jalousie ?
Or toute émotion est une énergie, que nous pouvons récupérer, transformer, transcender en quelque sorte. Il existe des techniques très précises pour effectuer ce travail, comme le montre la vidéo qui suit :
Cette méthode s'appelle "Core Transformation" et comporte 5 phases, dont la vidéo précédente représente la première. Elle a été découverte par deux enseignantes PNL, Connirae et Tamara Andreas.
Selon Freud le « principe de plaisir » est le moteur de nos actions, mais les organes associés à cette fonction n’ont été découverts que beaucoup plus tard.
Le mécanisme du plaisir a été mis en évidence en 1954, par James Olds et JM Milner (Université McGill, Montréal). L’expérience consiste à présenter à un rat, un levier reliée à des électrodes dans le noyau accumbens du cerveau. Le rat actionne tout d'abord le levier par hasard, puis rapidement il comprend l’intérêt de la chose, et appuie de plus en plus fréquemment, jusqu'à même en oublier se nourrir... et c'est la mort assurée.
Des jeux très stimulants :
Faisant apparaître à l’écran des situations conflictuelles, les jeux vidéo excitent le système émotionnel.
Or il se trouve que le système émotionnel ne fait pas la différence entre le réel et l’imaginaire. Dès l’apparition de monstres à l’écran, se produisent les réactions hormonales correspondant à une vraie bagarre : adrénaline et dopamine sont là pour motiver l’action et c'est très vivifiant. Aussi il n’est pas rare de voir un adolescent peu motivé pour ses devoirs, trouver en lui des ressources insoupçonnées, et pianoter des heures durant…
C’est que les jeux vidéo combinent adroitement le stress et le plaisir : les monstres sont hideux peut-être, et solidement armés, mais il est possible de les abattre. Il est possible de s’affirmer en héros et quand on gagne, le plaisir tant attendu arrive enfin. Bien sûr on ne peut se reposer trop longtemps, il y a toujours d’autres monstres, d’autres degrés à franchir dans l’art de se battre, d’autres citadelles à prendre.
Mettre un instrument de ce genre dans les mains d’un adolescent, est aussi dramatique que de fournir le levier du plaisir à un rat de laboratoire : l’addiction est quasiment assurée, à moins que l’adolescent n’ait acquis un sens aigu de sa propre valeur, en ayant accès à d’autres plaisirs, par le sport par exemple.
Il y a en effet une grande différence entre l’action virtuelle du jeu vidéo, et l’action réelle du sport : dans l’action réelle, l’adrénaline est consommée par le corps au cours de l’action, et l’organisme retrouve son équilibre hormonal. Ce n’est pas le cas dans le jeu vidéo.
Quand un adolescent se met en colère dès on l’appelle pour manger, quand il n’arrive plus à s’endormir, littéralement hypnotisé par le jeu, vous pouvez être sûr qu’il est tombé dans une addiction. Ce n’est nullement par manque d’intelligence, ni même par manque de maturité : le piège est d’ordre hormonal, comme dans toutes les addictions.
Quand un enfant ou un adolescent est pris au piège du jeu, il n’est plus en mesure d’en évaluer les risques. C’est donc aux parents de le protéger, en instituant des heures limites. L’adolescent se fâchera peut-être, comme tout drogué à qui l’on supprime sa dose, mais c’est le prix à payer pour la guérison. Parallèlement, il faut ouvrir la porte de la liberté, en direction du sport, de la nature et de l’amitié, les valeurs vraies de la vie au grand air.