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Vivre sans stress dans un monde agité - Page 27

  • Stage d'initiation Reiki

    Initiation Reiki Niveau 1

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    Le Reiki est une énergie nourricière, agréable et bénéfique pour le corps. Il est nécessaire de recevoir une initiation pour pouvoir faire circuler cette énergie.

    Au cours du stage, vous apprendrez aussi à ressentir l'énergie du Reiki, à placer les mains à différents endroits du corps pour laire passer cette énergie.

    Vous apprendrez à recevoir l'énergie du Reiki pour vous-même et pour la communiquer à vos proches, au moyen de techniques simples, enseignées par Maitre Usui, le fondateur de cette pratique.

    Les notions théoriques nécessaires pour comprendre la philosophie du Reiki et la circulation de l'énergie, vous seront également transmises pendant le stage. La documentation est fournie.

    Dates : Samedi 17 octobre et dimanche 18 octobre. début du stage : Samedi 14 H
    Durée : Une journée et demi, du samedi 14 heures, au dimanche 17 heures
    Tarif : 100 euros
    Lieu : Isle sur Sorgue. Cette ville est à une heure de Marseille et à 20 minutes d'Avignon. Les horaires du stage rendent possible un accès facile par le train depuis Marseille ou Avignon.

    isle-sorgue.jpgOn pourra venir vous chercher à la gare et vous y reconduire sur demande.

    Plan d'accès : cliquer ici >>>

    Vous pourrez selon votre choix, pique-niquer sur place ou aller déjeuner dans l'un des nombreux cafés-restaurant de la ville.

    Stage limité à 5 personnes,
    Renseignements - Réservations 06 09 05 63 52

  • Portes ouvertes à l'Espace Lumière

    L'espace Lumière vous invite à découvrir ses activités le Samedi 19 Septembre à Marseille

    Au programme de la journée portes ouvertes :

    Yoga, kinésiologie, sophrologie, bien-être et convivialité.

    Entrée gratuite. La journée se terminera par un cocktail et une tombola vous permettant de gagner des séances gratuites...

    J'interviendrai à 17H 30 pour vous présenter mes activités de thérapie et de coaching, ainsi que mes ateliers. Je serai également présent dans l'après midi pour dédicacer mes livres aux personnes qui le souhaitent.

    Voir le programme détaillé

    Adresse : Espace Lumière, 38 Boulevard Périer, 13008 Marseille - Métro Périer
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  • Sylvain, l'enfant de la forêt

    J'étais seul dans la forêt et je marchais. Je n'allais nulle part en particulier, content de suivre ce chemin rencontré au hasard, avec l'impression qu'il devait forcément mener quelque part.

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    De temps en temps j'apercevais de loin un animal, qui s'éclipsait aussitôt sans un bruit. J'avais la sensation que j'allais rencontrer quelque chose, quelqu'un. Oui, quelqu'un qui me surprendrait, et je n'allais pas être déçu.

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     J'avais lu des contes évoquant les elfes, les sylphides, les gnomes et autres esprits de la forêt, mais celui qui s'est présenté à moi ne ressemblait en rien à tous ceux-là, c'était juste un enfant.

    Je ne sais ce qu'il faisait là, ni qui l'avait amené ici et sa présence me parut insolite. Je compris par la suite, que c'était un génie, bien qu'il n'en aie aucunement l'allure. En effet les génies, selon l'idée que je m'en faisais, étaient de ces personnes immenses, manipulant à leur guise les pouvoirs magiques, et sachant répondre à toutes les questions. Or Sylvain - c'était son nom – n'avait pas de réponses et seulement des questions. Il ne m'en posa qu'une mais elle fut redoutable : « et maintenant, au jour d'aujourd'hui, qu'est-ce qui te manque pour être heureux ? »

     

    Il avait dit cela avec une telle innocence et un tel aplomb, que je lui fit la liste de tout ce qui me manquait. Habituellement les génies n'acceptent que trois veux, ils n'en veulent pas davantage, or celui-là m'écouta patiemment.

     

    Je me lançais donc dans une longue énumération, et à chaque élément que j'ajoutais, il insistait pour en savoir davantage. Puis invariablement il demandait : « et si tu arrives à obtenir ce dont tu parles, seras-tu heureux ? ». Et c'est ainsi que de fil en aiguille, je continuais la liste.

     

    Habituellement les génies exhaussent tous les veux au fil des demandes, mais lui se contentait d'acquiescer en hochant la tête, revenant toujours à sa question.

    Au bout d'un moment j'en eus fini d'énoncer toutes les choses dont j'étais sûr de manquer, toutes les choses qui me faisaient souffrir, et toutes les choses qui me paraissaient indispensables. Pourtant je continuais la liste en rajoutant ce qui me paraissait utile.

    Et quand j'en eus fini avec l'utile, je continuais avec l'agréable.

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    Au moment où nous arrivions dans une clairière, nous vîmes apparaitre une cabane qui semblait avoir poussé toute seule. Sylvain y entra et s'assit en plein milieu, alors je m'assis à côté de lui. En ayant terminé avec l'agréable, je me surpris à continuer encore en inventant des objets, des relations et des situations, auxquels je ne m'étais jamais intéressé.

     

    Et je continuais ainsi, longtemps, entrainé malgré moi par je ne sais quel besoin impérieux, comme si la perspective du bonheur imminent me semblait redoutable.

     

    Le génie fit mine de ne s'apercevoir de rien, se contentant d'écouter toujours aussi patiemment. Il n'avait même plus besoin de revenir à sa question rituelle, tant elle était ancrée dans mon esprit, revenant sans cesse comme un refrain.

     

    Et moi tout en continuant, je ressentais comme un décalage : c'était comme si j'avais choisi le bonheur comme but ultime, mais qu'en même temps je rajoutais des obstacles afin d'éviter d'y parvenir trop vite.

     

    Pourquoi ? Pourquoi cette peur de reconnaître que le bonheur est probablement là, tout près, à portée de la main ? Qu'il suffisait sans doute de tendre le bras pour le toucher, et là, tout à coup, j'ai croisé le regard de mon petit génie malicieux, et j'ai éclaté de rire !

     

    Un rire sans raison, un rire de joie et d'éclats de bonheur, et nous avons rit tous les deux, emportés par je ne sais quel élan, comme si la vie en lui et la vie en moi ne faisaient qu'un, comme si les barrières de l'âge et les barrières de la logique, les barrières du connu et de l'inconnu, du passé, du futur, du vide et du néant, comme si toutes les limites éclataient face à l'évidence qu'il n'est pas nécessaire, d'une raison particulière pour rire aux éclats.

    Et je me sentis... heureux.

     

    J'en oubliais ma liste de conditions devenues inutiles à présent.

    Alors nous avons dansé, au son d'une musique imaginaire. Et puis nous nous sommes quittés dans la joie.

     

    Texte et photos : Régis

     

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    Autres Histoires

     

  • Le stress au travail

    Le stress au travail toucherait une femme sur 3 et un homme sur deux, selon une étude commentée hier par TF1. Selon les chiffres annoncés, 400 personnes se sont suicidées l'année dernière en France sur leur lieu de travail. Le stress, et en particulier le stress des cadres, semble être un phénomène récent hélas, en accélération vertigineuse. Pourquoi?

     

    L’accélération du rythme de travail

    La compétition internationale augmente du fait de l’émergence de nouvelles puissances économiques comme la Corée, la Chine, l’Inde, etc… Rude concurrence pour les entreprises.

    Pour les salariés, cela se traduit par le risque est d’être rapidement dépassés, de ne plus être assez compétitifs. Si l’entreprise délocalise, l’employé peut se retrouver au chômage, ou être amené à changer de région ou de secteur d’activité pour retrouver du travail. Le système syndical tente de s’opposer comme il peut aux délocalisations, mais sans grand succès. Les gouvernements essaient également d’endiguer ce phénomène, mais on ne peut pas aisément lutter à l’échelle d’un pays, contre un phénomène international.

    Pour éviter les risques de chômage, ou au moins les différer le plus longtemps possible, tout le monde est amené à travailler à la fois vite et bien, ainsi le rythme s’accélère.

    Cette accélération du rythme de travail, a commencé il y a plusieurs dizaines d’années, lorsque le Japon s’est lancé dans la course internationale, devenant un partenaire économique incontournable pour les pays du monde occidental. Depuis ce moment-là, le rythme de travail subit une accélération régulière, l’accélération n’est pas assez rapide pour qu’on puisse en percevoir les effets sur une année, mais elle est évidente à l’échelle de la décennie.

    Les cadres entraînés dans la tourmente

    Les cadres, dont le rôle est de coordonner les efforts des employés, sont entraînés avec eux dans cette course de vitesse. Mais à la différence des employés, ils y sont entraînés en tant que responsables, ce qui les met en position difficile.

    Aux yeux de leurs collaborateurs, les cadres peuvent en effet apparaître comme les instigateurs du stress généralisé. S’ils tentent de calmer le jeu en acceptant des accommodements, ils peuvent aussi apparaître comme des rabats joie auprès de leur direction. C’est l’inconvénient du rôle d’intermédiaire : lorsque les choses vont bien on reçoit les félicitations de toutes parts, mais lorsqu’elles vont mal, on doit encaisser des reproches, et on se retrouve dans la position du bouc émissaire idéal.

    Des cadres isolés dans l’adversité

    La pression est d’autant plus difficile à vivre pour les cadres que de par leur fonction, ils sont très isolés. En effet dans la pratique, le cadre jouit souvent d’un bureau individuel, un espace confortable qui lui permet de travailler dans le calme, mais qui l’isole aussi de ses collaborateurs et de ses homologues.

    Face à une situation inconfortable, les employés se regroupent et se serrent les coudes au sein de leurs syndicats, qui ne les protègent plus aussi efficacement qu’avant, mais qui continuent à les soutenir, au moins psychologiquement.

    Les membres du Comité de Direction se serrent les coudes également. Même s’ils sont quelquefois soumis à rude épreuve de la part des actionnaires ou des concurrents, ils peuvent au moins se concerter sur la meilleure manière de réagir aux pressions. Le fait d’être soumis collectivement à une pression extérieure, resserre un peu plus les liens du groupe et allège le poids chacun. Le risque est toujours là, mais il est beaucoup plus facile à supporter d’un point de vue psychologique.

    Les cadres sont donc, au sein de l’entreprise, les personnes les plus exposées aux stress, d’autant plus que très souvent ils sont en compétition entre eux. Cette compétition est dans leur culture, mais elle est également entretenue dans le but de placer aux postes clefs, des gens compétents et réactifs. La compétition à ce niveau, est sans doute une nécessité, mais c’est aussi un élément d’isolement à prendre en compte dans les facteurs de stress.

    Limiter les dégâts…

    Au siècle dernier du précédent millénaire, on voyait surgir hors de leur tanière, de ces cadres autoritaires, reprenant à leur compte toute pression extérieure, comme s’ils en étaient les décideurs : ils croyaient ainsi mieux asseoir leur autorité.

    Aujourd’hui pour un cadre, il est préférable de se positionner autrement vis-à-vis de ses collaborateurs. C’est possible en faisant ressortir les contraintes que l‘on est obligé d’accepter au quotidien, comme la conséquence d’événements extérieurs à l‘entreprise. Quand on y réfléchit, aucun cadre n’est vraiment l’auteur des contraintes qu’il impose. Les contraintes que l’on transmet à ses équipes, proviennent généralement d’une évolution des rythmes ou des techniques, auxquels l’entreprise est amenée à s’adapter, et qui sont répercutées à l’ensemble des personnels concernés.

    Le cadre moderne peut donc continuer à avoir des exigences et à placer la barre très haut, de façon à maintenir un niveau de qualité élevé, et du même coup un niveau de qualification suffisant, ce qui est encore la meilleure garantie de sécurité. La manière la plus facile d’y parvenir, c’est de se positionner non pas comme l’auteur des contraintes, mais comme un facilitateur, comme une personne susceptible de limiter les dégâts face à l’extérieur.

    Pour être crédible dans cette forme de communication, il faut évidemment disposer d’éléments concrets permettant de faciliter la vie quotidienne dans l’univers du travail. La manière la plus constructive d’y parvenir, est de déployer un maximum de créativité, afin de gérer le changement en profitant de toute opportunité permettant un meilleur confort.

    Le cadre peut ainsi retrouver sa fonction naturelle : inventer des solutions nouvelles, permettant de créer les conditions les plus confortables pour un travail efficace.